Créer légalement une extension pour sa maison

Une extension de la maison permet d’avoir davantage de place dans la maison qui est au départ assez étroite. C’est également un investissement pour éviter le déménagement ou encore l’investissement dans un tout nouveau bien immobilier. L’extension d’une maison offre le privilège de refonder l’espace de l’habitation.

Une extension de la maison en toute légalité

Pour vivre sereinement dans une belle maison et posséder une extension réussie, il est indispensable d’avoir l’accord de l’autorité publique. Dans le cas où la surface apportée par les travaux est au-delà de 20 m2, l’obtention d’un permis de construire auprès de la mairie est obligatoire. Une simple déclaration de travaux est également suffisante mais il est primordial de se procurer un extrait du Plan local d’urbanisme afin de faire une évaluation des possibilités de transformation de la maison déjà présente. Toutefois, la construction est interdite dans certain cas.

Etude du sol avant les travaux

L’architecte préconise souvent une étude du sol dans certains cas d’extension. Cette pratique se traduit par le fait de sonder le terrain afin de savoir s’il est possible d’accueillir une construction en plus. C’est une démarche plus ou moins coûteuse mais assez importante pour éviter les mauvaises surprises. Les données obtenues sont mise en rapport avec la dimension des fondations que l’on prévoit de faire.

Le choix des bons matériaux

Le choix des matériaux à utiliser est assez important car cela joue sur le confort, l’isolation des pièces, ainsi que l’énergie propre qui circulera à l’intérieur de la maison.

  • Une extension en bois offre une meilleure isolation et présente une esthétique bien plus noble.
  • Une extension en brique de terre cuite offre une grande inertie thermique.
  • Les parois en verre sont un atout pour avoir une vue panoramique sur le jardin offre une grande luminosité naturelle au rez-de-chaussée.

Afin d’éviter les surchauffes estivales, il faudra porter attention sur les procédés de couverture ainsi que sur l’orientation des lieux. Cette réflexion est appelée « la réflexion bioclimatique ».

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